Foam is the sea’s brief breath. It appears, vanishes, rises like a white sigh on the surface of the water.
Fragile, it lasts only a moment, the subtle glimmer of what cannot be held. It is the ocean’s ephemeral language.
Born of nothing, wind, salt, water, and chaos, it blossoms, flickers, disappears.
It embodies the beauty of instability, of the fleeting, of the almost invisible.
In its swift dance, it reminds us that nothing lasts, but everything can be sensed, for a moment.
L’écume est le souffle bref de la mer. Elle apparaît, disparaît, surgit comme un soupir blanc à la surface de l’eau.
Fragile, elle ne dure qu’un instant, c’est le subtil éclat de ce qui ne se laisse pas retenir.
Elle est le langage éphémère de l’océan. Formée de rien, de vent, de sel, d’eau et de chaos, elle éclot, palpite, s’efface.
Elle incarne la beauté de l’instable, du fugace, du presque invisible.
Dans sa danse rapide, elle nous rappelle que rien ne dure, mais que tout peut être perçu, un instant.