The ruins of the Maya cities, silent remnants of a vanished civilization, tell a story of greatness and downfall.
Stones worn by time bear the imprint of a world where men sought to touch the sky, read the stars, build empires of knowledge and power.
Beneath the majesty of the pyramids, echoes a mysterious disappearance, a slow collapse, a cry muffled by the reclaiming forest.
These ruins stand as a stark reminder of our fragility. Time, nature, and oblivion envelop them. They invite us to reflect on what remains.
Les ruines des cités mayas, vestiges silencieux d’une civilisation disparue, racontent une histoire de grandeur et de chute.
Pierres usées par le temps, elles portent l’empreinte d’un monde où les hommes ont cherché à toucher le ciel, à lire les étoiles, à bâtir des empires de savoir et de pouvoir.
Sous la majesté des pyramides et la précision des palais, résonne l’écho d’une disparition mystérieuse, d’un effondrement lent, d’un cri étouffé par la forêt qui reprend ses droits.
Ces ruines sont un rappel brutal de notre fragilité. Le temps, la nature et l’oubli les enveloppent.
Elles nous invitent à méditer sur ce qui demeure.